Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Nos vies valent plus que leurs crédits


Éditeur : LE PASSAGER CLANDESTIN
ISBN papier: 9782369355106
ISBN numérique ePub: 9782369355113
ISBN numérique PDF: 9782369355137
Parution : 2022
Catégorisation : Livres numériques / Sciences humaines / Sciences sociales / Études de genres

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Livre papier En rupture de stock** Prix membre : 29,66 $
Prix non-membre : 32,95 $
x
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 20,99 $
x
Numérique PDF
Protection filigrane***
Illimité Prix : 20,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
**Ce produits est en rupture de stock mais sera expédié dès qu'ils sera disponible.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

La dette n?est pas neutre au niveau du genre. Les sociologues Camille Bruneau et Christine Vanden Daelen s?appuient sur cette analyse pour dérouler un argumentaire complet et implacable pour un non-paiement féministe des dettes, tant publiques que privées. Poussées à la précarité par des logiques colonialistes et patriarcales, les femmes subissent de plein fouet les conséquences de l?austérité au Nord et de l?injonction au « développement » aux Suds. En s?appuyant sur des exemples concrets, en France et partout dans le monde, les autrices proposent des perspectives d?émancipation pour remettre la vie au centre, notamment grâce à des analyses et des pratiques écoféministes. Cet essai est préfacé par Silvia Federici, universitaire, enseignante et figure centrale du féminisme contemporain. Sociologues, Camille Bruneau et Christine Vanden Daelen sont toutes deux membres du CADTM ? Comité pour l?abolition de la dette illégitime, association internationale qui ?uvre pour l?abolition du « système dette ». Ce livre est le résultat d?un travail collectif coordonné par Camille Bruneau et Christine Vanden Daelen. Y ont participé : Anaïs Carton, Beatriz Ortiz Martinez et Eva Betavatzi. La dette n?est pas neutre au niveau du genre. Les sociologues Camille Bruneau et Christine Vanden Daelen s?appuient sur cette analyse pour dérouler un argumentaire complet et implacable pour un non-paiement féministe des dettes, tant publiques que privées. Poussées à la précarité par des logiques colonialistes et patriarcales, les femmes subissent de plein fouet les conséquences de l?austérité au Nord et de l?injonction au « développement » aux Suds. En effet, les mêmes mécanismes sont partout à l??uvre. Ils sabrent les droits sociaux des femmes, accentuent leur pauvreté, durcissent et aggravent les inégalités entre les sexes et sapent les conquêtes féministes. Aux Nords, le remboursement de la dette se traduit par des coupes budgétaires dans les secteurs de la santé ou de l?éducation. Et les femmes trinquent doublement : en tant que salariées majoritaires de la fonction publique, mais également en tant que bénéficiaires. Ainsi, elles se retrouvent à devoir prendre en charge un « travail reproductif » non rémunéré, pourtant essentiel au fonctionnement de la société. Aux Suds, les institutions financières internationales comme le FMI ou la Banque de France encouragent l?exploitation des terres et des matières premières, expropriant les femmes, les privant de leurs moyens de subsistance, les contraignant à la migration, les soumettant à des violences. En s?appuyant sur des exemples concrets, en France et partout dans le monde, les autrices brossent un tableau des rouages économiques qui modèlent les rapports entre les pays et les personnes. Elles proposent enfin des perspectives d?émancipation pour remettre la vie au centre, notamment grâce à des analyses et des pratiques écoféministes. Cet essai est préfacé par Silvia Federici, universitaire, enseignante et figure centrale du féminisme contemporain. Elle est notamment l?autrice de Caliban et la sorcière, femmes corps et accumulation primitive (Entremonde), Le capitalisme patriarcal (La Fabrique, 2019), Par-delà les frontières du corps (Divergences, 2020) et plus récemment Une guerre mondiale contre les femmes (La Fabrique, février 2021). Camille Bruneau et Christine Vanden Daelen sont toutes deux membres du CADTM ? Comité pour l?abolition de la dette illégitime, association internationale présidée par l?historien et politologue Éric Toussaint qui ?uvre pour l?abolition du « système dette » Diplômée en sociologie rurale, développement international et sciences politiques, Camille Bruneau est responsable du suivi des enjeux féministes liées à la dette et l?austérité au CADTM. Elle anime régulièrement des conférences, ateliers et a récemment collaboré à Banque mondiale : une histoire critique d?Éric Toussaint. Sociologue et politologue de formation, Christine Vanden Daelen rejoint le CADTM en 2004. Engagée tant au niveau international qu?en Belgique, elle dénonce les dimensions genrées de la dette, à travers des articles et conférences. Ce livre est le résultat d?un travail collectif coordonné par Camille Bruneau et Christine Vanden Daelen. Y ont participé : Anaïs Carton, Beatriz Ortiz Martinez et Eva Betavatzi.

Du même auteur...

Livre papier 1 Prix : 20,99 $
x

Nos vies valent plus que leurs crédits

Éditeur : LE PASSAGER CLANDESTIN
ISBN : 9782369355137
Parution : 2022