Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Entre deux feux


Éditeur : Editions du Boréal
ISBN numérique ePub: 9782764646892
Parution : 2021
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 24,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

De la Conquête à l’élection du premier gouvernement de Maurice Duplessis en 1936, les hommes politiques du Québec – qu’ils aient été députés, ministres ou premiers ministres – ont utilisé la littérature. Pendant deux siècles, ils se sont présentés comme des gens de culture, souvent même comme des littérateurs. C’est un peu comme si leur capital culturel, plus ou moins important selon les cas, pouvait se transformer en capital politique. L’homme politique en poste et ce qu’il a pu publier au même moment; ce qu’il a aussi pu dire, par la suite, sur son expérience politique. Comment percevaient-ils la littérature? Comment l’utilisaient-ils? Comment les hommes politiques ont-ils pu stigmatiser l’inculture et la maladresse littéraires de l’adversaire pour mieux l’attaquer politiquement? Jonathan Livernois s’intéresse à la représentation de la littérature dans le champ politique québécois, à la fois comme objet de politiques gouvernementales, armes discursives, capital culturel et vecteur de fictions politiques. Il a découvert des traces de littérature dans des documents où on ne s’attendait pas à en trouver, notamment dans les monographies et rapports gouvernementaux, ce qui saura étonner le lecteur d’aujourd’hui. L’auteur montre qu’au début du XXe siècle l’image de l’homme de lettres/homme d’État s’est délitée tandis que les politiciens se sont professionnalisés, ce qui n’a pas empêché la littérature, ou ses grands récits, de demeurer une arme politique subrepticement redoutable. Des élections de 1792 au Petit catéchisme des électeurs de 1935, en passant par les identités plurielles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, les prétentions littéraires d’Honoré Mercier et le populisme de Camillien Houde, ce livre renouvelle la compréhension que nous avons de l’histoire intellectuelle, politique et littéraire du Québec. De la Conquête à l’élection du premier gouvernement de Maurice Duplessis en 1936, les hommes politiques du Québec – qu’ils aient été députés, ministres ou premiers ministres – ont utilisé la littérature. Pendant deux siècles, ils se sont présentés comme des gens de culture, souvent même comme des littérateurs. C’est un peu comme si leur capital culturel, plus ou moins important selon les cas, pouvait se transformer en capital politique. L’homme politique en poste et ce qu’il a pu publier au même moment; ce qu’il a aussi pu dire, par la suite, sur son expérience politique. Comment percevaient-ils la littérature? Comment l’utilisaient-ils? Comment les hommes politiques ont-ils pu stigmatiser l’inculture et la maladresse littéraires de l’adversaire pour mieux l’attaquer politiquement? Jonathan Livernois s’intéresse à la représentation de la littérature dans le champ politique québécois, à la fois comme objet de politiques gouvernementales, armes discursives, capital culturel et vecteur de fictions politiques. Il a découvert des traces de littérature dans des documents où on ne s’attendait pas à en trouver, notamment dans les monographies et rapports gouvernementaux, ce qui saura étonner le lecteur d’aujourd’hui. L’auteur montre qu’au début du XXe siècle l’image de l’homme de lettres/homme d’État s’est délitée tandis que les politiciens se sont professionnalisés, ce qui n’a pas empêché la littérature, ou ses grands récits, de demeurer une arme politique subrepticement redoutable. Des élections de 1792 au Petit catéchisme des électeurs de 1935, en passant par les identités plurielles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, les prétentions littéraires d’Honoré Mercier et le populisme de Camillien Houde, ce livre renouvelle la compréhension que nous avons de l’histoire intellectuelle, politique et littéraire du Québec.

Du même auteur...

Livre papier 1 Prix : 30,00 $
x

Écrire pour gouverner, écrire pour contester

Éditeur : PRESSES DE L'UNIVERSITÉ LAVAL
ISBN : 9782763754499
Parution : 2021


Livre papier 1 Prix : 24,99 $
x

Entre deux feux

Éditeur : Editions du Boréal
ISBN : 9782764636893
Parution : 2021


Livre papier 1 Prix : 1,99 $
x

La fin d’une histoire

Éditeur : Atelier 10
ISBN : 9782897595401
Parution : 2020