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Études littéraires, volume 41, numéro 2, été 2010


Éditeur : Département des littératures de l’Université Laval
ISBN numérique PDF: 9782920949430
Catégorisation : Livres numériques / Littérature générale / Littérature / Revues littéraires

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Description

Si, depuis le premier romantisme, la littérature est par définition le lieu qui met en jeu l’idée de « communauté », qu’advient-il de la littérature quand l’histoire nous fait connaître ce mot de « communauté » sur un fond de désastre ? Après qu’elle eut manqué à sa promesse de réaliser la communauté, au XXe siècle, la littérature a parfois questionné son pouvoir. Le dossier ici présenté s’intéresse à la littérature qui devient une bouteille à la mer : il traite d’œuvres des XXe et XXIe siècles qui supposent que la possibilité de la communauté dépend désormais de la rencontre (espérée mais inattendue) d’un auteur et d’un lecteur ; il étudie la façon dont, dans l’adresse à un lecteur « ami » implicite, et dans l’ouverture de leurs textes sur une expérience de lecture singulière, des écrivains — tels que Mandelstam, Bataille, Éluard, Améry, Kertész, Barthes, Macé ou encore Rouaud — recherchent un sens commun, une expérience commune, une communauté — celle-ci dût-elle être celle de « ceux qui n’ont pas de communauté ».