Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Le Kaiser Guillaume II, dernier empereur d'Allemagne


Éditeur : Tallandier
ISBN numérique ePub: 9791021007024
Parution : 2014
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 19,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

Peu de chefs d’État ont fait l’objet de jugements aussi caricaturaux et injustes que Guillaume II (1859-1941), dernier empereur d’Allemagne. Mais de quel pouvoir disposait-il vraiment ? De sa jeunesse à la cour des Hohenzollern à ses derniers jours en exil, Henry Bogdan brosse un portrait plus nuancé de cette figure majeure et controversée de l’histoire du XXe siècle et montre comment ses trente années de règne ont profondément modifié son pays. Pour beaucoup d’Allemands, son nom est associé à la Première Guerre mondiale et à la défaite. Du côté des vainqueurs, il est considéré comme l’un des principaux responsables de la guerre et comme celui qui a couvert de son autorité les exactions de l’armée allemande dans les pays occupés. Henry Bogdan donne un éclairage nouveau sur le rôle de Guillaume II pendant la guerre ; lui que ses généraux ont systématiquement écarté de la gestion militaire et qui le qualifient en même temps d’« empereur absent ». Homme cultivé et intelligent qui croit au progrès, le Kaiser accompagne et encourage le développement économique, met en place une législation sociale avancée qui fait de l’Allemagne d’alors le pays où la condition des travailleurs est la plus favorable. On découvre aussi qu’il n’est pas le monarque absolu que l’image traditionnelle a donné de lui. Tel était Guillaume II, mal-aimé de l’histoire, que la défaite et la révolution de 1918 forcèrent à l’exil aux Pays-Bas d’où il put observer, non sans crainte, le tragique chemin que Hitler faisait prendre à l’Allemagne. Peu de chefs d’État ont fait l’objet de jugements aussi caricaturaux et injustes que Guillaume II (1859-1941), dernier empereur d’Allemagne. Mais de quel pouvoir disposait-il vraiment ? De sa jeunesse à la cour des Hohenzollern à ses derniers jours en exil, Henry Bogdan brosse un portrait plus nuancé de cette figure majeure et controversée de l’histoire du XXe siècle et montre comment ses trente années de règne ont profondément modifié son pays. Pour beaucoup d’Allemands, son nom est associé à la Première Guerre mondiale et à la défaite. Du côté des vainqueurs, il est considéré comme l’un des principaux responsables de la guerre et comme celui qui a couvert de son autorité les exactions de l’armée allemande dans les pays occupés. Henry Bogdan donne un éclairage nouveau sur le rôle de Guillaume II pendant la guerre ; lui que ses généraux ont systématiquement écarté de la gestion militaire et qui le qualifient en même temps d’« empereur absent ». Homme cultivé et intelligent qui croit au progrès, le Kaiser accompagne et encourage le développement économique, met en place une législation sociale avancée qui fait de l’Allemagne d’alors le pays où la condition des travailleurs est la plus favorable. On découvre aussi qu’il n’est pas le monarque absolu que l’image traditionnelle a donné de lui. Tel était Guillaume II, mal-aimé de l’histoire, que la défaite et la révolution de 1918 forcèrent à l’exil aux Pays-Bas d’où il put observer, non sans crainte, le tragique chemin que Hitler faisait prendre à l’Allemagne.