Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Profession: travailleuse sociale


Éditeur : Éditions Liber
ISBN papier: 9782895783213
ISBN numérique ePub: 9782895783220
Parution : 2012
Catégorisation : Livres numériques / Sciences humaines / Sciences sociales / Travail social

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Livre papier En rupture de stock** Prix membre : 22,50 $
Prix non-membre : 25,00 $
x
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 18,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
**Ce produits est en rupture de stock mais sera expédié dès qu'ils sera disponible.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

Travailleuse sociale et psychanalyste, Monique Meloche raconte ici presqu’un demi-siècle de service social hospitalier, qu’elle a exercé dans les principaux établissements montréalais du début des années 1950 jusqu’au milieu des années 1990 : Montreal General Hospital, Occupational Therapy and Rehabilitation Center, Institut Albert-Prévost, hôpital Douglas, hôpital Saint-Jean-de-Dieu, hôpital Notre-Dame. Décrivant le travail et la population qu’il visait, les acteurs principaux qui en assuraient la gestion et le dynamisme, son récit rend sensibles les profondes transformations qu’a connues la société québécoise de la deuxième moitié du vingtième siècle. S’il dresse un bilan de première main d’une profession qui a peu à peu acquis son autonomie, ce témoignage non dépourvu d’humour est en même temps un hommage à la grandeur discrète de ceux et celles qui, côtoyant l’intimité souffrante de la collectivité, se consacrent à la soulager. «Monique Meloche a un don pour recréer les lieux et les atmosphères, esquisser en quelques traits le portrait des gens avec qui elle a travaillé et nous entraîner dans ce Québec des années 1950 ou 1960 où l’Église en menait large et où le travail social était encore une profession à construire. Ses mémoires représentent un précieux témoignage non seulement pour les travailleurs sociaux d’aujourd’hui, qui sont encore souvent des travailleuses sociales, mais aussi pour les historiens des femmes. Son parcours, atypique à plusieurs égards, montre que, dans ce Québec que l’on qualifie trop souvent de traditionnel, des femmes se sont affranchies des diktats sociaux et religieux et ont décidé de prendre en main leur destinée et de se tailler une carrière à leur convenance. En ce sens, il nous ramène aux sources de la Révolution tranquille qui, loin d’être un phénomène spontané, avait été préparée de longue date par des gens qui, comme elle, refusaient le statu quo. Monique Meloche a travaillé tant dans le réseau des services sociaux anglophone que francophone, ce qui était rare à l’époque. Elle a traversé l’Atlantique à une époque où très peu de gens le faisaient et elle a activement milité pour professionnaliser le travail social tout en devenant psychanalyste. Elle est l’une de ces pionnières dont il faut préserver le souvenir.» (Denyse Baillargeon, extrait de la préface)