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Workers, Unions, and Global Capitalism : Lessons from India

Hensman, Rohini


Éditeur : COLUMBIA UNIVERSITY PRESS
ISBN papier: 9780231148009
Parution : 2011
Code produit : 1140473
Catégorisation : Livres / Gestion / Économie / Économie du travail

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Livre papier En rupture de stock** Prix membre : 65,55 $
Prix non-membre : 69,00 $
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*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
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Description

Bien qu'il soit facile de blâmer la mondialisation pour les possibilités d'emploi se réduisent, des baisses dangereuses dans les normes du travail, et une foule de mécontents connexes, de «l'aplatissement» du monde a également créé des opportunités sans précédent pour l'organisation des travailleurs. En élargissant l'emploi dans les pays en développement, en particulier pour les femmes, la mondialisation a créé une base pour renforcer les droits des travailleurs, même dans des sites distants de production. Utilisation mouvement syndical de l'Inde comme un modèle, Rohini graphiques Hensman les réussites et les échecs, les forces et les faiblesses, de la lutte pour les droits des travailleurs et de l'organisation dans une nation riche et variée. Comme les produits indiens une acceptation plus large sur les marchés mondiaux, les disparités dans les conditions d'emploi et les droits syndicaux entre les régions telles que l'Union européenne et l'Inde vaste secteur informel sont exposés, ce qui soulève la question des implications de la mondialisation pour le travail. Étude Hensman examine le modèle unique de «syndicalisme des employés," qui a émergé à Bombay dans les années 1950, avant d'envisager les réponses syndicales à l'évolution récente, en particulier l'entraînement afin de former une fédération nationale des syndicats indépendants. Une question clé est de savoir jusqu'où les syndicats peuvent résister à des impulsions protectionnistes et de presse pour le renforcement des normes mondiales, ainsi que les mécanismes pour les faire respecter. Après avoir soigneusement déballé cet exemple, zooms Hensman pour retracer les paramètres d'un ordre du jour mondial du travail, appelant à un renouveau du syndicalisme, l'élimination du travail informel, et des réductions des dépenses militaires pour favoriser le financement de l'aide sociale globale et systèmes de sécurité sociale.