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Quitter Hurlevent


Éditeur : Quidam
ISBN numérique PDF: 9782374913773
ISBN numérique ePub: 9782374913797
Parution : 2024
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

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Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique PDF
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Illimité Prix : 23,99 $
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Numérique ePub
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Illimité Prix : 23,99 $
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*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

Lucie est psychiatre. A la faveur du hasard, elle recroise Hector, qu'elle a eu pour patient quinze ans plus tôt, alors qu'il était encore enfant. Fascinée par son opacité et par leur relation magnétique, elle se laisse emporter dans son histoire familiale avant qu’Hector ne disparaisse brutalement. Elle part jusqu'en Angleterre, enquêter sur la relation de celui-ci avec un père toxique, qui faisait rejouer à ses enfants l'histoire des Brontë, plongeant ses propres descendants dans les névroses et le romantisme noir de l’illustre famille d'artistes. Roman sur la beauté et le danger de vivre, aussi tourmenté que captivant, Quitter Hurlevent met en place une intrigue, sentimentale et familiale, pleine de ce mystère qui caractérise les écrits de Laurence Werner David. Laurence Werner David est née en 1970 à Angers. Elle a étudié la psychologie clinique et la littérature à l'Université Paris V. Après avoir travaillé comme clinicienne en milieu carcéral, elle enseigne aujourd’hui en tant que professeure de lettres dans un lycée parisien. En 1999, elle reçoit le prix littéraire de la vocation pour son recueil de poésie Éperdu par les figures du vent. Elle participe à la revue remue.net et travaille régulièrement avec des musiciens et des plasticiens (Flavia Fenaroli, Anne Paulus, Francis Limérat…). Laurence Werner David est née en 1970 à Angers. Elle a étudié la psychologie clinique et la littérature à l'Université Paris V. Après avoir travaillé comme clinicienne en milieu carcéral, elle enseigne aujourd’hui en tant que professeure de lettres dans un lycée parisien. En 1999, elle reçoit le prix littéraire de la vocation pour son recueil de poésie Éperdu par les figures du vent. Elle participe à la revue remue.net et travaille souvent avec des musiciens et des plasticiens. Les romans qu’écrit Laurence Werner David sont des expériences où les humains sont poussés à leurs dernières limites. C’est le « secret » auquel est suspendue la connaissance des êtres humains qui résonne dans un dialogue permanent entre réalité et subjectivité. Des couples ou des trios s’affrontent, des filiations sont questionnées, autant d’enquêtes qui viennent scruter ce qu’est le risque de laisser l’Autre pénétrer son intimité avec une obsession constante et centrale dans chaque roman : qu’est-ce qui lie un être humain à un autre ? L’accumulation des éprouvés intimes, l'indication des moindres gestes ou des labyrinthiques détours de la conscience, tout cet afflux du réel provoque un sentiment d'irréalité qui nous mène vers un ailleurs célébrant la puissance infinie de la fiction. Par les lieux qu’il choisit, les zones d’ombre qu’il arpente mais aussi par la force des victoires intimes, Quitter Hurlevent est un roman sur la beauté et le danger de vivre. Laurence Werner David : « Je suis tombée sur une coupure de presse relatant le procès d’un jeune homme ayant commis une tentative de meurtre sur sa compagne parce que, concluait succinctement le journaliste, tout avait convergé depuis l’enfance pour qu’il désire accomplir le scénario d’un père détruit par le vide d’une vie sans amour. J’ai voulu revenir sur une passion très ancienne. Dès l’écriture de mon premier roman je savais qu’un jour Les Hauts de Hurlevent reviendrait au cœur de mon processus d’écriture, pas tant comme histoire narrative que pierre angulaire et détonateur implacable d’une autre tragédie familiale, se rejouant presque deux siècles plus tard. Le roman d’Emily Brontë a exercé un étrange pouvoir sur le personnage de ce projet de fiction, Graeme Wolpe, né dans les parages d’Haworth (1). Devenu adulte, sa fascination pour l’univers des Brontë et plus particulièrement pour celui d’Emily, va entraîner ses propres enfants aux jeux (de simples petits soldats de plomb) que le Révérend Patrick Brontë, père d’Emily, de Charlotte, d’Anne et de Branswell, avait organisés pour les siens dans le presbytère d’Haworth. L’article de presse, sans doute, a croisé et renforcé ce désir de me confronter à ce qui peut parfois, dans certains cas, noyer les désirs propres d’un enfant éprouvant l’obligation vitale d’accomplir ce qui a manqué à un parent. Quels sont les rouages de cette intensité qu’il faut retrouver, ou entièrement inventer, pour ne pas mourir d’humiliation? » LE LIVRE : Eté 2001, Lucie Ancel est stagiaire psychiatre à l’institut Saint-Maurice, un hôpital où sont internés de très jeunes garçons psychotiques venus de France et d’Angleterre. Quinze ans plus tard, alors qu’elle assiste avec sa sœur à un concert rock à Paris, elle retrouve Hector Wolpe, le jeune pensionnaire dont elle a eu la charge thérapeutique à Saint-Maurice. Celui-ci est devenu un adulte décidé, confiant, loin du portrait du garçon meurtri par une enfance écoulée entre familles d’accueil et institutions spécialisées. Jour après jour il s’immisce dans la vie des sœurs Ancel. A mesure que Louise, sa sœur, noue une relation intime avec Hector, les souvenirs de Lucie Ancel ressurgissent. Ils sont d’abord imprégnés par la peur de ce que ces enfants « fous » représentaient aux yeux du personnel de Saint-Maurice, puis par le désir ambivalent de protéger aujourd’hui Louise de l’attirance fulgurante que celle-ci commence à éprouver pour Hector. Reviennent alors les images éclatantes des journées passées à Saint-Maurice, des mots échangés entre l’adolescent et la jeune stagiaire psychiatre. Ressurgissent des scènes troublées par l’ombre à la fois douce et écrasante des enfants Brontë dont autrefois, le père d’Hector, Graeme Wolpe, a désiré que ses propres enfants possèdent la même intensité et le même génie créatif. Pur hasard ou départ volontaire, Hector fuit soudainement Paris et les deux femmes, et disparaît de l’histoire… C’est alors une autre hantise que doit affronter Lucie Ancel : celle d’une promesse faite à Hector à Saint-Maurice et qu’elle n’a jamais pu mettre en acte. Un serment non tenu pour lequel il va lui falloir remonter le temps jusqu’à York, contrée natale d’Hector, en quête des fantômes d’Hurlevent. S'en suit une enquête comme une course contre et avec ce qu’on a perdu, et ce qu’on a voulu oublier. Contre ce qu’on a donné et qu’il aurait fallu protéger et sauvegarder. Une enquête qui s’attachera à mettre à jour, par la littérature, les logiques de dominations entre les êtres, que ces liens soient amoureux ou filiaux. Laurence Werner David est née en 1970 à Angers. Elle a étudié la psychologie clinique et la littérature à l'Université Paris V. Après avoir travaillé comme clinicienne en milieu carcéral, elle enseigne aujourd’hui en tant que professeure de lettres dans un lycée parisien. En 1999, elle reçoit le prix littéraire de la vocation pour son recueil de poésie Éperdu par les figures du vent. Elle participe à la revue remue.net et travaille régulièrement avec des musiciens et des plasticiens (Flavia Fenaroli, Anne Paulus, Francis Limérat…). Œuvres Éperdu par les figures du vent, éditions Obsidiane, coll. « Vocation », 1999- Prix Bleustein-Blanchet. Un autre dieu pour Violette, éditions Verticales, 2003. Contrefort, éditions Verticales, 2006. Est-ce, si loin ?, photographies de Philippe Bertin, Les éditions du Huitième Jour, 2007 ; Le Roman de Thomas Lilienstein, Buchet-Chastel, coll. « Qui vive », 2011. À la surface de l'été : triptyque romanesque, Buchet-Chastel, coll. « Qui vive », 2013. À mes yeux, Paris, Buchet-Chastel, coll. « Qui vive », 2017. Le Guet, Éditions Lanskine, 2020.

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