Coop UQAM | Coopsco

Créer mon profil | Mot de passe oublié?

Magasiner par secteur

Matériel obligatoire et recommandé

Voir les groupes
Devenir membre

Nos partenaires

UQAM
ESG UQAM
Réseau ESG UQAM
Bureau des diplômés
Centre sportif
Citadins
Service de la formation universitaire en région
Université à distance
Société de développement des entreprises culturelles - SODEC
L'institut du tourisme et de l'hotellerie - ITHQ
Pour le rayonnement du livre canadien
Presses de l'Université du Québec
Auteurs UQAM : Campagne permanente de promotion des auteures et auteurs UQAM
Fondation de l'UQAM
Écoles d'été en langues de l'UQAM
Canal savoir
L'économie sociale, j'achète
Millénium Micro



Recherche avancée...

Chronique de la salle sans porte


Éditeur : Libre court
ISBN numérique ePub: 9782511022474
Parution : 2014
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 1,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

À la surprise des élèves, la porte d’une classe disparaît...

Par cet étrange coup du sort, l’auteur enferme ses lecteurs entre les murs d’un passé écolier qui sent bon la craie, l’ennui, les cahiers, la camaraderie et une formidable soif d’évasion. 

Une nouvelle touchante dans laquelle la nostalgie se heurte aux facéties du surréalisme

À PROPOS DE L'AUTEUR

Né à Oran en Algérie, Roland Fuentès a passé son adolescence en Provence. De ses jeunes années au soleil, il a gardé un ton espiègle et jovial qui illumine ses écrits : romans, nouvelles et depuis 2007, livres pour enfants.

À PROPOS DES ÉDITIONS LIBRE COURT

Libre Court propose des nouvelles et des histoires courtes à lire partout en moins d'une heure. Ces textes, signés par des auteurs reconnus, vous entraineront à la découverte de personnages attachants, percutants voire déroutants, portés par une écriture rythmée.

EXTRAIT

« J’allais sur mes treize ans. Je fréquentais une école en bordure de la zone industrielle, une de ces casernes en béton gris où l’on nous enfermait du matin au soir pour fleurir nos têtes. Il y avait quelques fenêtres dans notre salle mais on ne s’en rendait pas compte. Elles étaient là, silencieuses, accrochées au mur comme des vêtements oubliés sur un portemanteau. L’utilité de ces grandes choses plates et transparentes demeurait pour nous un mystère. »