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Médias et démocratie en Afrique : l'enjeu de la régulation


Éditeur : Bruylant
ISBN numérique ePub: 9782802741473
Parution : 2013
Catégorisation : Livres numériques / Autre / Autre / Autre.

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 184,99 $
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*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

Quel que soit le pays ou le continent considéré, une interdépendance étroite existe aujourd’hui entre démocratie, liberté des médias et régulation de la communication. Une place cruciale revient en effet aux organes de régulation dans la procédure d’allocation de fréquences d’émissions, dans la promotion de la diversité culturelle des contenus médiatiques, dans l’équitable accès aux ondes des courants politiques et de pensée, ou encore dans l’émergence de véritables médias de service public. Les organes de régulation des médias se sont partout ou presque imposés comme partie intégrante de l’appareillage institutionnel démocratique. En Afrique subsaharienne, les premières instances de régulation des médias ont été créées dans le sillage de la démocratisation, au tournant des années 1980/1990. Le rejet du système des partis uniques et la revendication des libertés civiles et politiques se traduisent notamment alors, dans le domaine de l’information et de la communication, par l’avènement de régulateurs dont la vocation est de couper le cordon ombilical entre pouvoir politique et médias. Le bouillonnement médiaticopolitique né de l’essor sans précédent de nouveaux supports écrits et audiovisuels privés, a, de par sa vigueur et, il faut bien le reconnaître aussi, ses excès, nécessité l’organisation de ces nouvelles libertés d’expression et de communication. Ce besoin d’arbitrage, justifié au nom de l’intérêt supérieur du public et de son droit à une information de qualité, a débouché sur la création d’instances de régulation des médias écrits et/ou audiovisuels. A l’heure où la légitimité de ces nouveaux acteurs indépendants semble globalement acquise, de nouveaux dangers les attendent pourtant : sauront-ils, par exemple, relever les défis que leur posent les nouvelles technologies de l’information et de la communication - notamment Internet – et parviendront-ils à gérer collectivement, en bonne intelligence et complémentarité, les images télévisuelles se déversant sur les Etats africains, en s’affranchissant de toute considération de frontières ?