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Ce peuple qui ne fut jamais souverain

Auteur UQAM

Payette, Jean-François / Payet


Éditeur : FIDES
ISBN papier: 9782762136104
ISBN numérique ePub: 9782762136128
ISBN numérique PDF: 9782762136111
Parution : 2013
Code produit : 1133475
Catégorisation : Livres / Sciences humaines / Sciences politiques / Québec et Canada

Formats disponibles

Format Qté. disp. Prix* Commander
Livre papier 1 Prix membre : 25,16 $
Prix non-membre : 27,95 $
x
Numérique ePub
Protection filigrane***
Illimité Prix : 19,99 $
x
Numérique PDF
Protection filigrane***
Illimité Prix : 19,99 $
x

*Les prix sont en dollars canadien. Taxes et frais de livraison en sus.
***Ce produit est protégé en vertu des droits d'auteurs.




Description

L’État est un instrument puissant de développement et de progrès pour la vie heureuse de la cité, affirma autrefois Aristote. À trois reprises, le peuple québécois a pensé se donner un tel appareil social — avec les Patriotes (1830-1838) et avec le mouvement souverainiste créé par René Lévesque (référendum de 1980 et référendum de 1995) — et à ces trois occasions, des forces contraires se sont employées à l’égarer en le poussant à l’inaction collective, au suicide politique. Trois échecs historiques qui ont nourri, avec le temps, un pli culturel inhibiteur de l’action. Intériorisé, ce pli culturel amène les Québécois à se laisser dominer politiquement par une autre nation, les convainc de remettre la richesse qu’ils produisent en des mains étrangères, les persuade de vivre en déshérités du monde en abdiquant collectivement leur responsabilité de collaborer à une humanité qui se fait. Cette dépossession se manifeste dans leur renoncement à promouvoir le bien commun et les entraîne à s’illusionner sur les promesses d’un individualisme conformiste, à cultiver la confusion dans leurs choix politiques et à entretenir l’incertitude de leur avenir. Ce livre montre que «?l’absence d’une véritable autorité sur le monde précipite la conscience collective de ceux qui en sont privés dans l’angoisse d’une rupture avec ce monde et les enchaîne à leurs peurs?». Mais ce livre démontre également que cette condition culturelle n’est pas une fatalité. En cela, il est aussi une invitation à retrouver la lumière, les rêves et la confiance que procure le fait d’agir collectivement.